Toune
C’est chacun notre tour de chier
Quand on s’lève le matin
A l’heure où ils ont pas le cœur
Seulement les intestins,
Prêt a dégager des odeurs,
Tour a tour nous passons
Saluer notre patrons,
Celui qui nous accueille avec façon,
Et nous dépouille de tout ce que nous avions
Vide nous avançons vers une destination
Pour refaire des provisions,
Afin que le soir venu,
Au moment ou seul la retenu,
Puisse retenir nos envie sauvage.
Celles qui DÉGAGE.
C’est chacun notre tour de chier
Des gros madriers
Que l’on aimerait bien scier !
Afin de nous déconstiper.
Après notre retour face au patron
Habiller de brun et de blanc
Il nous laisse pour seul option
Celle de ce lever du banc
Et avant de repartir à l’action
Pour faire disparaître les traces de cette transaction
L’utilisation du p’tit piton
Est alors requise.
La guachette alors tirer
Il ne reste plus qu’a ce retirer
Pour se réapprovisionner
Et pour pouvoir redire que…
C’est chacun notre tour de chier
Des gros madriers
Que l’on aimerait bien scier !
Afin de nous déconstiper.
Jour après jour nous tentons
Sans beaucoup de résultats
De ne plus avoir affaires
Avec se sale patron pervers
Qui de son air sain !
Nous regarde le cul
En se renflouant grâce à nous tous.
Si un jour, où la misère du matin
Tous comme celle de toute la journée disparaîtrait
On ne reverra plus jamais, cette foutue merde.
Et nous n’aurons plus a dire…
C’est chacun notre tour de chier
Des gros madriers
Que l’on aimerait bien scier !
Afin de nous déconstiper.
D’la tristesse j’en chie…
Tu sais quand je pense à toi
Mes idées sont troublées
Je me mets alors a penser
Afin de trouver ce je ne sais quoi.
Ce je ne sais quoi que je voyais en toi
Qui me permettait de croire
Que mon bon vouloir
Me ferais aimé de toi
Mais malheureusement mon sort en à été autrement
Les cataclysmes qui se sont abattues sur moi
M’ont fait penser différemment
Je n’ai plus envie de t’aimer mais plus de me choquer contre toi
Mon cœur palpite,
Respiration s’agite
Sur mon front perle la sueur,
Je suis pris de stupeur
Non, non, non j’ai pas envie d’chier
Mais plutôt de crier
Crier que tu peux aller brûler
Au fond de mes pensées
Non, NON! JE NE VEUX PLUS TE REVOIR
Même dans ma mémoire
Je m’suis senti manipulé, touché
Je crois que je vais m’effondrer
Je ne me suis pas fait tirer
Mais plutôt ébranler
Je savais que tu l’aimais
Pourquoi tu te retenais
Anyway, quand je pense a tout ca aujourd’hui
Ca m’donne envie de chier
Dans mes culottes on peut trouver une traînée de sui
Et sur mon cœur, une crotte bien placer
Bon c l’temps d’me torcher
C’est quoi j’vais prendre
Une photo platifier
Une trainer, sur ta face va se répendre
Non, non, non j’ai pas envie d’chier
Mais plutôt de crier
Crier que tu peux aller brûler
Au fond de mes pensées
Non, NON! JE NE VEUX PLUS TE REVOIR
Même dans ma mémoire
Je m’suis senti manipulé, touché
Je crois que je vais m’effondrer
Bon ben la je me suis vider
Je suis déconstiper
Alors je vais arreter
Je vais t’oublier
Voici deux toune qui comme vous avez bien pu le voir, parle de marde. C'est pas poli, c'est pas beau non plus mais c naturel.
La première n'a pas de but, et ne doit être vue que comme une description d'une situation donné dans la vie de tous et chacun.
La deuxième, je l'ai écris pour une fille, ca m'a fait du bien mais la je ne suis plus en criss contre elle encore mais comme c'est une compo que j'ai fait je voulais vous la montrer.
Et j'ai encore un sourire épais d'étampé dans la face.
Écrit le: 02/11/2003 @ 23:44
J'ai vraiment hâte que tu post des tounes que je ne connais pas !! (Quoique la deuxième ne me dis pas grand chose, encore moins la fille pour qui tu as écrit cette toune...)
Pour ce qui est de ton sourire épais : espérons qu'il perdure des siècles et des siècles. Amen !